
(...) A cette heure nocturne, l’Arbre semble penser. Il est um être d’ombre. Les oiseaux endormis le laissent seul vivant. Il frissone en soi-même : on dirait qu’il se parle. La peur habite en lui, comme elle fait en nous, quand nous sommmes tout seuls, la nuit, avec nous-mêmes, et tout à la merci de notre vérité.
(Tityre, Paul Valéry, Dialogue de l’Arbre )
Cortaram as ramadas, mas as árvores permanecem.
(Tityre, Paul Valéry, Dialogue de l’Arbre )
Cortaram as ramadas, mas as árvores permanecem.
Troncos solitários em espaços restritos, frente às janelas da casa.
Imobilizadas e silenciosas. Aguardam.
Imobilizadas e silenciosas. Aguardam.
foto daqui
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